Les rires ne sont plus que des larmes qui coulent lentement sur nos joues tandis que le temps reste là, pour nous rappeler que nous ne sommes pas éternel. [Charlie + Libre]

Parfois quand je repense à cette ville qui nous à vu grandir, sourire, aimer et qu'aujourd'hui elle n'est plus cette bonne petite ville et qu'il ne reste d'elle qu'un monceau de ruines et de tristesse dans le coeur et l'âme des anciens habitants. Cela me rappelle les gens qu'autrefois j'ai aimé et que j'aimerais sans doute un jour encore. Ces rires d'enfants qui résonnent au loin et qui rendent le temps encore plus mossade.

Parfois on regarde devant nous et on remarque que l'avenir est flou. Lorsque que nous étions enfant avec nos amis ont imaginait que les villes n'étaient que des nombres pour qu'elles arrêtent de nous rappeler des souvenirs. Et c'est comme ça que ma ville natale est devenu la ville 45. Cette ville n'était pas la plus belle n'y la plus grande mais, juste le plus aimante. Elle pouvait en un rien de temps vous remettre le sourire bien que plus rien n'en vaille la peine. C'est ainsi qu'à cet instant je suis assise sur une vielle balançoire qui elle aussi a vu le temps et Ville 45 veillir. Moi qui n'était que l'Enfant Deux-247 vivant dans le Ville 45 avec son grand frère Enfant Cinq-456. Nous n'étions que des enfants et pourtant déjà des adultes...

Alors aujourd'hui j'attend , j'attend que quelqu'un vienne partager ses souvenirs avec moi et cette vielle balançoire. J'attend aussi que cette vile redevienne un endroit heureux, mais en vain je sais que c'est impossible car la moindre forme de vie finirai par sombrer dans la mélancolie comme moi et mon âme emplie de tristesse. On repense et resace chaque jour passé dans ce vieux terrain de jeu qui n'a que pour compagnie des absences et des vents glaciales. Car oui je peux le dire c'est ici que j'ai grandi dans Ville 45 avec Enfant Cinq-456, c'est ici aussi que j'ai aimé et que j'aimerai encore ! Et c'est ici que j'allume fierement ma cigarette et la tand vers le ciel gris et pleins de nuages, pour lui dire : Merci.

Merci d'avoir été cette bonne vielle Ville rongait par la souffrance et l'amertume d'une vie passé. Et maintenant je marche discretement vers la sortit. Et la miracle, une personne me tend la main juste devant. Ah moins que ce ne soit qu'un reve. Je m'approche délicatement ayant peur de rever. Je ne serai donc pas la seule à regretter Ville 45 ? Ha se moment précis une goutelette vient se mettre sous mon oeil et rouler le long de ma joue. Je veux un ami .. n ami pour comprendre que perdre les choses qu'on aime permet de crée des choses qu'on aimera.